SAMUEL BENDAHAN

Conseiller national, Économiste, Vice-président du PS Suisse

11.06.1980

· Membre de la Commission de l’Economie et des Redevances
· Président de la Fédération Suisse Lire et Ecrire
· Président de L’OSEO Suisse
· Président de la Coopérative sociale d’habitants Le Bled
· Membre du Comité de l’ATE Suisse
· Membre du Comité de la Fédération Suisse des Entreprises

Qui suis-je?

Je suis économiste, socialiste, et je m’engage depuis de nombreuses années pour que l’humain reste au centre des préoccupations politiques.

Ce qui compte le plus, c’est la liberté. La liberté, pas seulement pour quelques personnes, mais pour l’ensemble de la population. C’est pourquoi :

  • J’ai étudié les sciences économiques et réalisé une thèse dans ce domaine, en m’intéressant à ce qu’on peut faire pour que l’économie soit au service de l’humain. Finalement, la liberté c’est ce qu’on peut faire une fois qu’on a fait ce qu’on doit faire. Les personnes vivant dans la précarité, la pauvreté, la difficulté ou dans des espaces non démocratiques sont privés de leur liberté, et nous avons les moyens sur Terre d’offrir à tout le monde une vie décente et libre, même si la tâche est ardue.
  • Je me suis engagé au PS, dont je suis actuellement l’un des vice-présidents, car c’est le parti qui se bat pour le plus grand nombre. Le combat pour la liberté est son quotidien, et il défend le pouvoir d’achat, les droits de toutes les personnes, l’égalité, l’écologie, la paix et la démocratie.

Au niveau associatif, je m’engage aussi pour que tout le monde ait les moyens de pouvoir vivre de façon libre, et pour l’inclusion, par exemple comme président de Lire et Ecrire et de l’OSEO, d’une coopérative d’habitants (Le Bled) ou encore comme membre du comité de la Fédération Suisse des Entreprises. J’essaie aussi d’agir sur ce terrain pour prouver qu’il est possible de réaliser des progrès même dans l’adversité.

Pourquoi je m’engage

S’engager à gauche, c’est souvent difficile : ceux qui commandent, ce sont ceux qui ont l’argent et le pouvoir. Mais ce n’est pas assez difficile pour me décourager. On dit souvent de façon péjorative que l’espoir fait vivre… Mais je pense que c’est juste. C’est grâce à l’espoir de toutes les personnes qui se sont engagées par le passé qu’aujourd’hui les vies de milliards de personnes peuvent être meilleures. Malheureusement, il reste encore beaucoup à faire, et je souhaite modestement apporter ma contribution.

En politique on ne fait jamais rien seul. Le PS c’est le parti ou il est facile de trouver d’autres personnes qui partagent les valeurs de liberté et d’humanisme et qui sont prêtes à se donner à fond pour améliorer le quotidien des gens, tout en se battant plus profondément pour un monde meilleur.

Je souhaite continuer mon travail au parlement après ma première législature complète, et notamment m’engager en particulier sur les thèmes économiques et financiers comme le pouvoir d’achat, la régulation du secteur financier, la répartition des ressources. Je m’intéresse également beaucoup aux nouvelles technologies. Celles-ci peuvent être une belle opportunité lorsque le progrès profite à tout le monde, mais dans beaucoup de circonstances, cela amène des risques et des problèmes qui nécessitent d’agir politiquement. Enfin, je me suis également attaqué à d’autres thèmes comme l’agriculture, les salaires, les rentes ou les transports.

Ce que j’aime…

Ce que j’aime, c’est avant tout les gens. Partager des moments avec des proches, rencontrer de nouvelles personnes, vivre en société, participer à des projets. Sur le plan personnel, mes passions sont la cuisine, les jeux vidéo (et les jeux en général), ainsi que diverses formes de culture, allant des séries à l’art contemporain.

Ma citation préférée

« L’obscurité ne peut pas vaincre la lumière. »
Gandalf