Pierre-Yves Maillard

Président de l’Union syndicale suisse, Conseiller national

Augmentation des loyers, augmentation des primes et augmentations des prix, alors que l’indexation des salaires est contestée partout. Telle est la situation de notre pays en cette année 2023. Et la droite demande encore un mécanisme automatique d’augmentation de l’âge de la retraite. Elle s’oppose à toute mesure sérieuse de limitation des profits indus qui se font dans certains secteurs du système de santé. Et elle met à disposition des dizaines de milliards d’argent public quand il s’agit de sauver une banque privée qui, avec son accord, s’est gavée de dividendes et de bonus. C’est assez de raisons pour s’engager plus que jamais pour notre Parti socialiste. Car sur tous ces problèmes, depuis des années, nous avons vu juste. Nous avons demandé une régulation plus stricte des grandes banques. Nous avons demandé un contrôle public des loyers. Nous combattons l’augmentation de l’âge de la retraite et exigeons au contraire une amélioration des rentes. Nous demandons de limiter les tarifs excessifs dans certains secteurs médicaux et le plafonnement des primes à 10% du revenu.

Nous sommes du côté du peuple qui travaille dur et qui a besoin de sécurité sociale. Nous sommes du côté du peuple vaudois qui s’oppose à la hausse de l’âge de la retraite et plébiscite le plafonnement des primes. Nous devons gagner les élections fédérales et les importantes votations qui suivront contre le démantèlement de nos rentes et au contraire pour une 13eme rente AVS et le plafonnement des primes maladie à l’échelle nationale. Je m’engage avec conviction et enthousiasme pour ces combats historiques.

• pierre-yves.maillard@bluewin.ch

01) Pierre-Yves Maillard

Président de l’Union syndicale suisse, Conseiller national

Augmentation des loyers, augmentation des primes et augmentations des prix, alors que l’indexation des salaires est contestée partout. Telle est la situation de notre pays en cette année 2023. Et la droite demande encore un mécanisme automatique d’augmentation de l’âge de la retraite. Elle s’oppose à toute mesure sérieuse de limitation des profits indus qui se font dans certains secteurs du système de santé. Et elle met à disposition des dizaines de milliards d’argent public quand il s’agit de sauver une banque privée qui, avec son accord, s’est gavée de dividendes et de bonus. C’est assez de raisons pour s’engager plus que jamais pour notre Parti socialiste. Car sur tous ces problèmes, depuis des années, nous avons vu juste. Nous avons demandé une régulation plus stricte des grandes banques. Nous avons demandé un contrôle public des loyers. Nous combattons l’augmentation de l’âge de la retraite et exigeons au contraire une amélioration des rentes. Nous demandons de limiter les tarifs excessifs dans certains secteurs médicaux et le plafonnement des primes à 10% du revenu.

Nous sommes du côté du peuple qui travaille dur et qui a besoin de sécurité sociale. Nous sommes du côté du peuple vaudois qui s’oppose à la hausse de l’âge de la retraite et plébiscite le plafonnement des primes. Nous devons gagner les élections fédérales et les importantes votations qui suivront contre le démantèlement de nos rentes et au contraire pour une 13eme rente AVS et le plafonnement des primes maladie à l’échelle nationale. Je m’engage avec conviction et enthousiasme pour ces combats historiques.

Brigitte Crottaz

Médecin, Conseillère nationale

La crise du Covid puis la guerre aux portes de l’Europe ont profondément ébranlé nos certitudes et ont d’importantes répercussions sur notre société. On assiste ainsi à une baisse du pouvoir d’achat et à une paupérisation croissante de la population pour lesquelles nous devons trouver des solutions.

Mes autres priorités : tout faire pour réformer le système de santé et éviter une médecine à deux vitesses, mais aussi promouvoir l’égalité, un service public fort, une politique familiale moderne, davantage de justice sociale et des mesures efficaces pour protéger notre environnement.

Je souhaite également participer à trouver rapidement des solutions avec l’UE, notamment pour les personnes aux études ou travaillant dans la recherche, fortement pénalisées par leur exclusion des programmes européens.

Je m’engage enfin à me battre sous la Coupole fédérale pour les personnes que nous défendons depuis toujours ainsi que pour toutes celles et ceux qui voient leur qualité de vie se détériorer.

Samuel Bendahan

Economiste, Conseiller national

C’est un paradoxe. Chaque jour qui passe, nous pouvons faire mieux. Mais chaque jour qui passe, la vie est plus dure pour l’écrasante majorité des ménages. L’humanité a fait tant de découvertes fantastiques, et les technologies continuent à être développées, mais le pouvoir et les richesses ne cessent de se concentrer. Le coût de la vie explose, les salaires stagnent, et cela en même temps que les plus grandes fortunes deviennent de plus en plus colossales.

Cela peut changer. Être socialiste, c’est rêver d’un monde meilleur et faire tout ce qui est en notre pouvoir pour réaliser ce rêve. Notre engagement est le meilleur moyen d’améliorer notre société, au quotidien et pour les générations à venir. De manière concrète, cela passe par la défense de la classe moyenne et des ménages modestes. Nous luttons contre les inégalités massives qui rendent les fins de mois de plus en plus difficiles et privent donc les peuples de leur liberté.

Le PS se bat universellement dans tous les domaines : égalité, écologie, migration, coopération, paix. Nous aurons toutefois une priorité : la liberté. La meilleure façon d’y parvenir au plus vite est de garantir que chaque ménage, chaque personne ait les moyens de vivre dignement. Se battre pour le pouvoir d’achat, ce n’est pas une défense de la société de la consommation. C’est augmenter les salaires, les rentes, lutter contre les loyers abusifs et les montants illégitimes des primes maladie pour que tout le monde puisse avoir de quoi se loger, se nourrir, mais aussi de quoi réellement profiter de la vie. Nous prenons donc parti pour des loyers abordables, des salaires et des rentes suffisantes et surtout pour le bien commun.

Roger Nordmann

Président du CA du Bureau d’Ingénieur Planair SA, CA du Groupe E SA (distributeur électrique public FR, NE et Broye VD), Conseiller national

• Engagé pour réformer la société dans le sens de plus d’émancipation et de justice, de respect des générations futures, de coopération internationale et européenne, j’estime que le PS a une obligation de livrer des résultats tangibles.
• Comme Président du Groupe PS aux Chambres, je me suis efforcé de faire fonctionner au mieux le groupe, de soutenir les membres dans l’action et de représenter au mieux le groupe et le parti dans toutes les régions linguistiques.
• Au Parlement, j’ai substantiellement contribué à la politique énergétique et climatique actuelle : Sortie du nucléaire, renforcement du soutien à l’électricité renouvelable, neutralité climatique en 2050 et remplacement des chauffages (votation 18.6.2023). Effort à renforcer massivement.
• Publication en aout 2023 du Livre “L’urgence énergie et climat – Investir pour une transition rapide et juste”

Brenda Tuosto

Municipale à la Ville d'Yverdon-les-Bains, Urbaniste-spécialiste en mobilité

Née dans une famille ouvrière d’origine italienne, je me suis engagée dans la politique locale car j’ai vécu très personnellement les inégalités contre lesquelles notre parti se bat au quotidien. Si je présente ma candidature, c’est grâce aux immenses sacrifices réalisés par ma famille pour nous offrir à mon frère et à moi un avenir où nous ne manquerions de rien.

D’autres n’ont peut-être pas eu cette chance : privé·e·s de droit de vote malgré une vie passée en Suisse, engagé·e·s dans des emplois difficiles et mal payés, ils et elles ont fait passer le bien-être des autres avant le leur, une attitude qui a bien entendu façonné la socialiste que je suis aujourd’hui. Lorsque l’on sait qu’en Suisse, 40% des retraité·e·s ne touchent pas de rente LPP, un phénomène qui s’aggrave pour les femmes, il est urgent d’agir.

J’ai ancré mes combats socialistes et écologistes dans l’expérience de mon parcours personnel et je suis prête, avec vous, à aller au front pour toutes celles et ceux qui ont des rêves mais pas le pouvoir (d’achat) de le faire.

06) Laurie Willommet

Municipale à la Ville de Vevey & Enseignante spécialisée

En 2023, le PS prend parti pour les intérêts de la population. En cette période compliquée, notre campagne sera forte : nous sommes le parti qui défend le pouvoir d’achat, celui de l’égalité des chances, du féminisme. Notre défi : faire entendre nos combats et victoires à la population et regagner des sièges lors de ces élections.

Si ces valeurs me parlent autant, c’est qu’elles s’inscrivent dans mon engagement politique. D’abord vendeuse, puis enseignante et étudiante, en passant par Reine Narcisses et chorégraphe, de Ollon à Lausanne, mon parcours est atypique. Je ne suis pas la plus grande intellectuelle, mais j’ai été confrontée aux failles de notre système, j’ai travaillé avec des jeunes précarisé·e·s et j’ai connu les fins de mois difficiles. Grâce à cela, je réalise la chance que j’ai eue d’être élue à la Municipalité de Vevey en 2021, de pouvoir y représenter la population.

Je me suis alors particulièrement investie dans la politique de l’accueil de jour, aussi au niveau cantonal à la FRAJE. Mais confrontée aux réalités de notre système, j’ai réalisé l’importance de la politique fédérale et l’envie de me battre pour faire bouger les choses, même par petits pas. Ainsi, je m’engage dans ces élections fédérales en portant pleinement les thématiques du PS. Candidate de la Jeunesse socialiste sur cette liste, je suis prête à incarner la relève et la jeunesse dont nous avons besoin en politique. Très active et engagée chez les Femmes socialistes, féministe et déterminée, je suis fière de représenter ces valeurs là et de me battre au quotidien pour l’égalité.

Jean Tschopp

Responsable juridique à la Fédération romande des consommateurs (FRC)

Au quotidien, comme responsable juridique à la FRC, je m’engage pour traquer la vie chère, les arnaques, les mauvaises pratiques commerciales. C’est le combat des petits contre les grands: des consommateurs face aux multinationales, des assuré·e·s accablé·e·s par la hausse sans limite des primes.

Précédemment, durant 4 ans au syndicat Unia, j’ai vu trop de travailleuses et travailleurs, de personnes en situation de handicap et de retraité·e·s malmené·e·s. Il est essentiel d’agir pour une réelle indexation des salaires et un revenu correct quand tous les prix augmentent. Le fil rouge de mon engagement, c’est la défense de la partie faible au contrat.

Nous réussirons la transition écologique si nous ne laissons personne au bord du chemin. Nous voulons  l’assainissement énergétique des bâtiments et des logements à loyer abordable, des transports publics forts et des baisses de tarifs.

Face au rejet de l’autre, notre ambition, c’est de bâtir une société dans laquelle tout le monde trouve sa place. C’est le renforcement des solidarités.

08) Carine Carvalho

Cheffe du Bureau de l’égalité – UNIL

Femme migrante, mère, féministe et active en politique depuis 2015, je comprends l’impact de l’action socialiste sur la vie des gens.

J’aimerais défendre les politiques publiques fortes, l’accès à la formation et à l’emploi, la participation à la vie politique et sociale et la lutte contre les discriminations. Chaque habitant·e de ce pays devrait pouvoir vivre dans la dignité, être reconnu·e et respecté·e, vivre en sécurité, développer ses capacités, contribuer au bien commun, pouvoir en profiter et ne pas craindre l’avenir.

Plus que jamais, nous avons besoin des forces de gauche. La majorité de droite est incapable de protéger les plus faibles face aux crises et à la destruction de notre planète. On ne pourra pas assurer l’avenir en poussant la société à la consommation irresponsable, en précarisant celles et ceux qui travaillent, en faisant fi de la science, en menant des politiques fiscales injustes ou en créant des divisions au sein de la population.

09) Julia Macheret

Infirmière clinicienne en oncologie et radiothérapie

Femme active dans le care en tant qu’infirmière, maman, connaissant les difficultés de concilier une vie professionnelle et familiale tout en jonglant avec les contraintes de budget serré, d’horaires irréguliers, de manque de place d’accueil et le contexte d’inflation, je veux prendre parti pour contribuer à une vie meilleure !

En étant élue, je souhaiterais mener des engagements concrets pour renforcer le service public ; que l’accès aux soins de qualité reste un droit fondamental, que la promotion de la santé devienne une priorité politique et que les coûts soient maitrisés. Les primes maladie, les factures des prestations de soins ne devraient plus être un obstacle à la santé !

Je m’engagerai également pour une politique plus sociale et égalitaire, pour la mise en œuvre d’un salaire minimum et le renforcement du pouvoir d’achat. Les classes moyennes et défavorisées doivent pouvoir vivre décemment et joindre les deux bouts !

Enfin, je soutiendrai toutes les mesures qui permettront d’adapter notre consommation tout en développant notre économie et en préservant les ressources naturelles si précieuses.

10) Sébastien Pedroli

Avocat spécialiste FSA en droit de la famille

Depuis mes 20 ans, je suis consultant pour l’ASLOCA et d’autres associations. C’est cet engagement militant qui a guidé tous mes choix professionnels et associatifs depuis lors.

Comme avocat, je m’engage pour la défense des victimes et en particulier des victimes de violences conjugales. C’est donc logiquement que je poursuis ces activités au niveau politique au sein du PS comme conseiller communal de Payerne depuis 2011 et député depuis 2020. Grâce à ma pratique professionnelle quotidienne, je suis proche des difficultés quotidiennes des Vaudois·e·s  comme non seulement le coût des loyers, les primes d’assurances-maladie, les problèmes d’accueil extrascolaire ou encore la question du pouvoir d’achat mais également en luttant contre toutes sortes de discrimination.

Issu d’une région périphérique, j’ai une grande sensibilité pour ces régions éloignées des centres urbains et parfois oubliées. J’aimerais donc pouvoir porter ces combats que je soutiens au niveau cantonal également au niveau fédéral.

11) Oriane Sarrasin

Maîtresse d’enseignement et de recherche UNIL, psychologie sociale

Née dans un village genevois d’une mère au foyer et d’un père mécanicien, rien ne me prédestinait à devenir députée vaudoise. C’est parce que j’ai toujours été révoltée par les injustices que j’ai décidé de rejoindre le PS en 2009, suite à une initiative nationale que j’avais trouvée particulièrement inégalitaire. Une suite de postes à court-terme, nécessitant une certaine mobilité, ne m’a pas permis de pouvoir m’engager tout de suite.

Depuis que je suis devenue conseillère communale à Crissier en 2016, peu après mon 2^e enfant (j’en ai trois), je me suis investie de manière croissante, en co-fondant un regroupement de gauche à Crissier et en étant élue députée. Par la politique, je mets mes compétences et mon énergie à disposition de notre parti et de la société pour faire avancer les thèmes qui me sont chers, comme l’égalité et le climat. Convaincue qu’ensemble on est plus fort·e·s, je m’investis également dans différents comités et associations.

Jessica Jaccoud

Avocate

L’indignation est notre point de départ. A nous d’inventer un chemin pour l’émancipation de tou·te·s. A nous socialistes, conscient·e·s de la richesse des un·es et de la pauvreté des autres, de nous battre contre l’ordre établi en contradiction flagrante avec notre volonté de justice, d’égalité et de solidarité ancrée en nous. Ces valeurs phares sont emblématiques de nos combats à venir pour la prochaine législature : la lutte contre la vie chère, pour la protection du climat et pour plus d’égalité.

J’ai eu l’immense honneur de porter nos valeurs et de soutenir nos causes en qualité de présidente de notre parti. J’ai été au plus près de vous camarades, comme je le suis auprès des locataires, des travailleur·euse·s et des femmes victimes de violence en ma qualité d’avocate. Mon métier me permet d’être témoin au quotidien des injustices qui touchent encore beaucoup trop les femmes et les personnes précarisées.

13) Benoît Gaillard

Co-responsable de la communication et des campagnes à l’Union syndicale suisse ; président du conseil d’administration de la CGN

Les gens qui font tourner le pays reçoivent de moins en moins leur juste part. Pour beaucoup de gens qui travaillent, la situation est difficile. Se former et bosser dur ne garantit plus de pouvoir vivre correctement, de pouvoir subvenir aux besoins d’une famille, de pouvoir envisager sereinement même les petits imprévus. Et cela ne touche plus, depuis longtemps, que les bas salaires. Pire : les perspectives s’assombrissent. L’idée que nous pourrons vivre un peu mieux demain, que nos enfants le pourront, s’efface. L’insécurité et le doute dans l’avenir s’installent.

En 2023, il faut donner un élan pour remettre la Suisse à l’endroit. Car il est possible d’organiser le pays autrement. De garantir le droit au travail et à de bons salaires. De renforcer l’AVS et de soutenir celles et ceux que la vie met à l’épreuve. De développer l’accueil de jour des enfants et les services publics. De garantir des logements abordables. De mettre en œuvre l’égalité. En somme, de renouer avec l’espoir d’un avenir meilleur.

Il ne suffit pas de le vouloir. Et face aux crises économique, climatique, sociale, il serait illusoire de croire que le mouvement de balancier serait automatique. Renverser la tendance implique de mobiliser et remobiliser largement les classes moyennes et populaires. Partir des problèmes du quotidien, proposer des solutions, obtenir les moyens de les mettre en œuvre : voilà le programme pour octobre 2023.

14) Séverine Graff

Enseignante et responsable de la promotion de la santé au gymnase

Regardons les choses en face. Retraites, accueil extrafamilial, inégalités salariales : les femmes sont les grandes perdantes de cette législature qui a pourtant commencé l’année de la grève féministe de 2019. Regardons les choses en face : le vieillissement de la population est un défi social, dans un pays où beaucoup de retraité·e·s sont obligé·e·s de s’installer à l’étranger pour vivre dans des conditions dignes.

Mon parcours professionnel place également les jeunes et la culture au cœur de mon engagement. Comment se fait-il que dans un pays aussi riche, 60% des artistes soient pauvres ? Que les enfants soient les principaux bénéficiaires des aides sociales ? Tout cela est inacceptable et doit changer avec l’élection d’octobre.

Le PS ne doit pas uniquement apparaître comme fiable, il doit redonner envie aux Suissesses et aux Suisses de créer une société solidaire qui permet à toutes et tous d’avoir des revenus corrects et une place digne.

15) Marie-Solène Pham

Collaboratrice projet / Cohésion sociale, familles et jeunesse / Commune de Montreux

Au cœur de défis actuels d’ampleur sans précédent, les acquis d’hier pourront être à nouveau les luttes de demain et il est nécessaire de défendre la solidarité et l’égalité. Il y a quelques mois, nous avons combattu fermement le projet de la droite qui était de supprimer l’indexation des salaires des employé·e·s communaux·ales, nous avons réussi à maintenir l’indexation prévue pour leur permettre d’absorber en partie l’augmentation du coût de la vie. Nous constatons partout des combats à mener face à la droite qui sert les intérêts économiques individuels.

Femme, mère active, consciente par expérience des challenges de mener de front une vie familiale et une carrière professionnelle, je prends parti pour les personnes et les familles, touchées de plein fouet par les crises internationales, pour leur permettre une meilleure insertion socio-économique à travers, par exemple, l’initiative pour les crèches qui, à terme, renforcera l’égalité des femmes et consolidera leur place dans la société.

16) Sébastien Cala

Chercheur en sciences du sport (UNIL)

Chercheur à l’Université de Lausanne, j’ai suivi ma scolarité et vit actuellement à la Vallée de Joux. Terre horlogère, à la culture syndicale forte, j’ai grandi au sein d’une famille ouvrière, très impliquée dans le milieu associatif. A la Vallée, j’ai découvert les joies du saut à ski, discipline que j’ai pratiquée à l’international jusqu’en 2010. Par la suite, j’ai entamé des études universitaires en Lettres, puis en Sciences du sport, tout en m’engageant dans le domaine du sport et au sein du PS Vallée de Joux.

Mon expérience politique débute au Conseil communal du Chenit en 2012. De 2013 à 2022, j’ai par ailleurs présidé la section locale. En 2019, j’accède au Grand Conseil en remplacement de Nicolas Rochat Fernandez. Membre tout d’abord de la Commission de politique familiale, j’entre ensuite à la Commission de santé publique et suis élu à la vice-présidence du Groupe, en juillet dernier.

Dans un contexte international très difficile, alors que l’inflation croit, que beaucoup de personnes s’inquiètent pour leurs fins de mois, pour l’avenir de leurs enfants, pour l’avenir de notre planète, il m’apparaît essentiel d’avoir un état fort, un état capable de soutenir la population, capable d’investir : dans la transition énergétique, dans le système de santé, dans la formation, dans les transports publics, dans les crèches ; capable de renforcer le filet social, pour ne citer que ces domaines. C’est pourquoi je m’engage dans cette campagne où j’ai à cœur de défendre une société plus solidaire, plus égalitaire et plus progressiste.

17) Laure Jaton

Municipale à la Ville de Morges

Depuis toujours, je suis engagée pour plus de justice sociale et la défense des intérêts des minorités. La crise climatique, la perte du pouvoir d’achat, les inégalités qui se creusent renforcent ma détermination à défendre nos valeurs socialistes.

Après plusieurs années au Conseil communal, je suis actuellement municipale de l’urbanisme à Morges. J’y défends une ville durable, une mobilité pacifiée et des espaces extérieurs ouverts et qualitatifs.

Après des études de droit, j’ai travaillé pour plusieurs communes et au Bureau de l’égalité vaudois ; j’ai 4 enfants et 3 petits-enfants.

Féministe, au National, je défendrai une réelle égalité des salaires et des retraites. Promulguer des contrôles ne suffit pas, sans sanction, voire sans quotas, rien ne bouge. La lutte contre toutes les violences sexistes doit encore être un moteur pour notre groupe. Me battre aussi pour un accueil respectueux des migrant∙e∙s, qui méritent d’être traité∙e∙s dignement et d’avoir un avenir dans notre pays.

18) Naim Smakiqi

Logisticien au CHUV

Améliorer les conditions de travail pour toutes et tous, redistribuer mieux les richesses et permettre une intégration pertinente des étrangers au sein de notre société, ces combats me tiennent à cœur, ce sont les racines de mon engagement politique.

Aujourd’hui encore, travailler à la logistique au CHUV, être père de famille, s’engager dans la politique communale avec ma femme et échanger avec mon entourage me permettent de vivre au quotidien les dures réalités auxquelles, dans les classes les plus modestes de notre pays, nous sommes confronté·e·s.

Je sais d’expérience ce que le Parti socialiste a fait pour le monde ouvrier en étant fort dans notre canton. Pour que nous puissions vivre mieux et dignement dans un pays plus juste, notre parti doit réussir. Pour cela, notre liste doit être représentative. J’ai travaillé en équipe dans l’industrie, je sais ce que c’est de chercher un logement pour une famille avec trois enfants et un salaire d’ouvrier, j’ai vécu un parcours d’intégration. Ces réalités, tant de familles les vivent. Par ma candidature, j’aimerais contribuer à les mobiliser pour nos causes.

19) Julien Wicki

Enseignant

Socialistes, nous tirons notre force de notre capacité à agir, dans le cadre de nos institutions, mais aussi dans les mouvements sociaux qui nourrissent notre action politique. Deux luttes récentes ont marqué mon engagement militant. Lors de la grève Smood, j’ai fondé le premier comité de soutien aux grévistes que j’ai appris à connaître sur les piquets. Leur lutte a révélé le vrai visage du capitalisme de plateforme qui, sous couvert de modernité, ressasse les mêmes vieilles soupes néolibérales qui ont récemment provoqué la chute de Crédit Suisse. Maintenant, régulons un système économique qui, hier comme aujourd’hui, continue de traiter les individus comme des marchandises ! J’anime également, depuis 2015, l’un des principaux mouvements de solidarité avec les réfugié·e·s de ma région. Maintenant, ancrons la solidarité localement, mais portons-la aussi au niveau fédéral face aux cris xénophobes de l’UDC!

Pouvoir d’achat, droit d’asile, égalité, lutte contre le travail précaire ou le dérèglement climatique, le parti socialiste apporte des réponses concrètes aux défis de notre époque comme aux problèmes quotidiens de la population. Cette campagne nous permettra de le montrer, grâce à la mobilisation de nos candidat·e·s et de tou-te-s nos militant-e-s.